Une attestation de la/des langue/s d’interprétariat ainsi que de la langue officielle locale (niveau B2) est nécessaire pour obtenir le certificat INTERPRET. Pour l’admission à l’examen professionnel fédéral, une attestation de la langue officielle au niveau C1 doit être fournie. Les niveaux linguistiques cités sont conformes au Cadre européen commun de référence pour les langues CECRL.

Tou-te-s les candidat-e-s au certificat INTERPRET doivent passer un examen de langue d'interprétariat, à l'exception des titulaires d'un diplôme d'interprète de niveau tertiaire dans la combinaison de langues correspondante. Ce test consiste en un entretien téléphonique avec un-e expert-e de langue et comprend notamment la traduction orale d'un texte du français dans la langue d'interprétariat.
Dans la colonne de droite, vous trouverez des informations complémentaires sur cet examen.

En raison de la révision du système de qualification, cet examen ne sera plus proposé. L'inscription était possible jusqu'au 31 décembre 2023 auprès de l'Office de quialification d'INTERPRET.
Les examens de la langue d'interprétariat seront également proposés dans la nouveau système de qualifications. Pour des plus amples informations voir ici.

Les attestations reconnues pour la langue officielle locale (français) sont :

• un diplôme de formation professionnelle ou d'études obtenu dans une région francophone, ou des documents équivalents qui seront évalués lors d'une procédure de reconnaissance (12 ans d'école ou de formation au moins)
• un diplôme international de langue de niveau min. B2, selon le cadre de référence européen (CECR)
• l'examen de français spécifique pour interprètes communautaires

Des indications plus précises se trouvent dans le document "Attestation des compétences en français pour l'obtention du Certificat INTERPRET" (colonne de droite).

Des compétences linguistiques au niveau C1 doivent être attestées pour l’admission à l’examen professionnel. Les attestations reconnues sont les suivantes :

• diplôme de formation du niveau tertiaire dans un pays francophone (langue d’enseignement : français)
• diplôme d’une Haute école dans discipline du français, même si l’école ne se situe pas dans un espace francophone
• certificat ou diplôme de langue reconnu internationalement, au moins au niveau C1 du système de référence européen.

Veuillez consulter le document directives sur le règlement d'examen. Les attesataions reconnues pour l'admission à l’examen professionnel sont décrites sur la page 8.